Colocataires en séance de masturbation
Les deux filles savaient bien que ce qu'elles avaient ne pouvait être comparé à rien d'autre, que ce qu'elles recherchaient l'une chez l'autre était quelque chose de trop spécial pour le dire au monde, qui les jugerait sûrement de la pire des façons. C'est pourquoi, sous prétexte d'étude et de concentration, ils ne recevaient plus de visites et s'enfermaient dans leur chambre, où ils pouvaient, dans la solitude du moment, se livrer à leurs séances de masturbation communes, où ils apprenaient à connaître leur corps et celui de l'autre, avec des gémissements étouffés et en mordant les oreillers pour ne pas être entendus. Les nuits semblaient interminables et ils n'avaient besoin de rien d'autre que de l'autre.